Cette voie de "l'Octuple"...

" Maître, nous savons que tu es véridique, et que tu enseignes la voie de Dieu " (Matthieu 22 :16)

Cette voie de "l'Octuple" s'associe tout d'abord à Ce qu'il y a de "meilleur" et ensuite à la Vérité des "quatre pieds", à cette vérité des "quatre pieds" qui repose obligatoirement dans la pensée de celui qui est pie(d.), une forme du mot "pieu". Dans la tradition juive, (d.) est une façon d'écrire le Nom de Dieu pour ne pas avoir à Le prononcer et "pie" étant un adjectif accordé au féminin, voici quelques mots du Rabbin Delphine Horvilleur qui se rapportent à cette particularité.

Delphine Horvilleur

Il y a des évènements importants dans l'histoire et dans la tradition juives qui méritent de s’arrêter un instant parce qu'ils illustrent et s'inscrivent dans la Vie que nous sommes amenés à découvrir et parmi ces évènements importants celui de la destruction du Temple de Jérusalem (W) en l'an 70 !

70 est un Nombre important que nous allons retrouver très vite et qui, ici et maintenant, se compose de deux nombres, un 7 et un 0. C'est un Nombre où il y aurait beaucoup, beaucoup à dire ici, mais en simplifiant à l’extrême, on voit que le Nombre du 7ème jour, le Nombre de la Réalisation de Dieu 7 est souvent représenté graphiquement comme un 1 barré, notamment en écriture manuscrite (W). De même que l'on barre les mots de sa liste de courses une fois les achats réalisés, de même on raye le nombre premier une fois la réalisation de Dieu atteinte, parce qu'Il est fondamentalement la Première manifestation.

"Au commencement Dieu"

(Genèse 1;1)

Après avoir rayé le 7, vient le 0 où tout étant pleinement réalisé, il n'y a plus, plus rien (0), plus de temple dans la ville comme il est dit dans l’Apocalypse au chapitre 22, où il n'y a plus que la lumière de Réalisation parfaite à partir de laquelle la Pensée ne peut plus prendre appui sur quelque chose en particulier, sur une construction finie, mais sur cette absence, sur ce vide apparent, sur ce vide que rien ne peut limiter puisqu'il est vide et Ce Vide apparent qui ne peut être limité est Dieu !

70, et « C'est un zéro qui est Tout, ou un Infini indéfinissable qui paraît au mental un vide parce que le mental ne saisit que des constructions finies, mais qui est en fait la seule véritable Existence. ». (Sri Aurobindo, la vie divine 1939, p30)
La Destruction de cette construction(s) finie(s) s'inscrit dans la Loi, c'est-à-dire dans la progression naturelle du parfait accomplissement intérieur et ce Temple, cette "Maison de Dieu" pour reprendre la terminologie biblique, disparaît.
"Constructeur, je t'ai vu, tu ne construiras plus de maison à l'avenir. Tous ses chevrons sont brisés, son toit est anéanti ; débarrassée des confections mentales, la pensée détruit les soifs." (Stances de la Loi 154)

Quand on a "vu", que de conceptions mentales, que de constructions finies s'écoulent !

Et ce "temple" disparaît, il n'est plus et n'y étant plus perçu (comme quelque chose de limité à sa forme apparente), de fait on ne peut plus contempler ce que l'on y contemplait, on ne peut plus y prononcer le Nom que l'on prononçait, il n'y a plus rien, plus rien que l'on puisse nommer, limiter à un nom. On ne peut plus se référer à ce que notre mental pouvait saisir et qui ne pouvait être que limité à son apparence extérieure. Ceci s'illustre aussi dans les Évangiles, lorsque Jésus n'est plus, il ne peut plus être saisit par le mental, car Il apparait alors et Se révèle dans Sa véritable Dimension qui est au-dessus Ce tout ce qu'Il peut saisir.

Et à partir de là, à partir du moment où il n'y a plus (0), plus que ce zérO, nous en sommes "Au commencement" où Dieu commence vraiment à Se révéler en nous comme dans l'histoire du peuple juif. Et dans le monde juif, c'est le début de la diaspora (un mot remarquable) où le peuple juif se répand dans le monde. Ainsi en va-t-il de la Connaissance qui est en nous et qui, à partir de là, va être expulsée, chassée, afin de pouvoir commencer à se répandre dans notre " monde" c'est-à-dire là où nous pouvons en prendre Connaissance.

Mais le mental humain n'aime pas ce procédé divin qu'il ne comprend pas parce qu'il ne perçoit que les choses apparentes, que les constructions finies comme si elles se limitaient à cela alors que ces dernières ne font qu'illustrer Ce qu'il en est en réalité, toute la vie qui est en nous.

Imaginons un homme qui doit prendre impérativement un avion pour décrocher un poste de travail admirable, un poste qui représente le rêve de toute sa vie, et tous les événements de la vie qui vont suivre vont venir en opposition pour qu'il ne puisse pas prendre son avion. Il sera empêché de tous côtés et malgré tous ses efforts et une lutte acharnée pour vaincre cette adversité, au dernier moment, il rate quand même son avion et le voilà très contrarié, désespéré et très malheureux. Il y a perdu une chance inespérée, la chance de sa vie ! Alors il rentre tristement chez lui les yeux plein de larmes, le cœur gros et peu de temps après, on lui apprend que l'avion, que son avion celui qu'il devait prendre, s'est écrasé. Alors il comprend la valeur inestimable de l'Adversité et se montre reconnaissant envers Celui qui a su le protéger, qui a su mettre le doigt sur ce qui avait le plus de valeur.

Pour le mental humain Dieu apparait comme l'Adversaire parce qu’il ne lui est pas donné sur le moment de comprendre Sa façon de faire et ce n'est parfois que bien longtemps après qu'il voit et qu'il comprend, s'il fait preuve de bonne foi et d'humilité, comment il a été conduit pour en être là où il est aujourd'hui. Mais il est rare qu'un homme soit en mesure de le voir, si peu que ce soit, parce qu'il reste attaché à ce que lui aurait cru bon pour lui, à ce qu'il aurait voulu. Et là il n'y a pas de place pour Dieu !

Et ici même la lettre finale du mot pie(d.) a disparu parce qu'il ne reste plus que la Révélation de la Vie, parfaitement réalisée et bienheureuse, la vie parfaite

Revenons sur la Voie pie, revenons sur cette Stance où les Nombres sont mis en valeur,

273. Des voies l'octuple est la meilleure, des vérités les quatre pieds sont le meilleur, des choses la meilleure est l'absence de passion, et parmi les êtres à deux pieds le meilleur est celui qui a l’œil.
274. C'est la seule voie, il n'y en a pas d'autre ..."
(Stances de la Loi 273-274)

Et Celui qui est "véridique", Celui qui dit vrai, Celui qui est vrai, ne peut enseigner que Ce qu'il y a de "meilleur" et de plus utile et de plus représentatif d'autant plus qu'il n'y a point d'autre "voie" digne de ce nom. Nous pouvons en être convaincus et c'est une aide précieuse que d'en être convaincu.

La passion dont il est question ici, c'est celle qui aveugle et qui résulte d'un attachement inconsidéré aux "confections mentales" qui interdisent de voir Ce qui est et qui S'est manifesté : l'Unité de la Création de Dieu.

Et cette "voie", qui est avant tout celle de l'Octuple Manifestation, celle-là même de Celui qui a été circoncis à l'âge de "huit jours" (Luc 3;21) et Il l'enseigne tout d'abord dans les Évangiles en Se donnant en exemple, Il l'enseigne sur Ses "quatre pieds", Il l'enseigne avec Ses quatre premiers disciples avec lesquels Il marche et Se révèle. Et avec un peu de considération, il est évident que dans cette Représentation anthropomorphique de la Réalité suprême, de la Réalité qui est au-delà des apparences que "Jésus" ne pouvait pas prendre appui sur quatre imbéciles mais sur un Ensemble primordial de 2 x 2, un groupe où les Éléments sont à la fois semblables (frères) et complémentaires.

" 18 En marchant le long de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et André son frère, qui jetaient l'épervier dans la mer ; car c'étaient des pêcheurs. 19 Et il leur dit : « Venez à ma suite, et je vous ferai pêcheurs d'hommes. » 20 Eux, aussitôt laissant les filets, le suivirent. 21 Et à quelques pas de là, il vit deux autres frères, Jacques, le [fils] de Zébédée, et Jean son frère, dans le bateau avec Zébédée leur père, en train d'arranger leurs filets, et il les appela. 22 Eux, aussitôt laissant le bateau et leur père, le suivirent. Jésus parcourt la Galilée. 23 Et [avec eux, marchant avec Eux, se reposant sur Eux] il circulait dans toute la Galilée, enseignant dans leurs synagogues, proclamant l'Évangile du Royaume et guérissant toute maladie et toute débilité dans le peuple." (Matthieu 4;18)

Les choses devraient commencer à prendre un autre visage. Avec un peu de considération que pouvait-Ils bien représenter ? Aussi longtemps que "le temple" demeure on y reste attaché et avec ce dernier à toutes les croyances et toutes "les confections mentales" qui s'y rapportent.

Si dans cette Stance (273), tout Ce qui se rapporte aux Nombres n'est pas précisément défini, c'est pour que nous ne limitions pas Ce à quoi ils se rapportent mais que nous le réalisions peu à peu, au travers de toutes ses représentations qui ne manqueront pas d’apparaître sur le chemin de Éternelle réalisation.

Dans les Évangiles, Jésus représente le Maître spirituel, le Seigneur, l’Adonaï, Il représente la Vie qui nous a été donnée et qui repose toujours sur ces "quatre pieds", sur les "quatre lettres" que l'on peut observer dans cette représentation admirable du Tétragramme que l'on trouve dans la Bible d'André Chouraqui, Tétragramme constitué de deux lettres semblables et de deux lettres complémentaires. Car c'est en recherchant Ce qui est à la fois semblable et complémentaire que l'on peut voir Ce qui est éternel et universel.

Adonaï...
"16 « Dieu en effet a tant aimé le monde qu'il a donné le Fils, l'Unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu..."

Dieu a donné, cette Conscience de l'Univers, cette Conscience de l'Uni, de Conscience de l'Unique Réalité, que " le Fils" représente avec Ses "quatre pieds" "pour que tout homme qui croit en lui", et qui accepte par là même de reconnaître Ce qu'Il est, ait "la vie éternelle", Celle qui Se révèle éternellement "ici et maintenant".

Au fond, il n'y a rien d'extraordinaire dans Ce qui est demandé ici et rien qui ne soit pas en accord avec le But à atteindre : "la vie éternelle", mais où sont ceux qui en ont l'audace ? Où sont ceux qui accordent leurs moyens avec le But à atteindre ? Où sont ceux qui arrêtent de contempler Ce qui n'est plus, Ce qui a peut-être été utile en un temps mais qui n'est plus !

"Au commencement Dieu", au commencement 18 lettres fondamentales et à la fin "adonaï IHVH" = 91 / 89 / 180 !

Et pour que tout Se révèle, il faut commencer par croire en Lui, car Lui seul qui est Dieu est réel, en veillant à pas L'associer à l'image limitée que nous en faisons, celle d'un Personnage ou d'un Indéfinissable perdu quelque part on ne sait où dans ce vaste univers, quelque chose de distinct de sa Création. Or "Dieu a tant aimé le monde" que c'est avec lui et au travers de lui qu'Il Se révèle, toujours, éternellement car l'Amour, c'est "la Conscience de l'Unité", comme l'a si justement remarqué Swâmi Râmdâs, et "Dieu" nous a donné cette Conscience, nous a donné la Vision de Son Amour.

Et pour que Cela ne soit pas que simples paroles mais devienne une Réalité, il faut commencer par croire "en Lui" d'où cette Parole de Mâ Ananda Moyî donnée à un visiteur pour le mettre sur "la voie" :

"Pour aller au-delà de croyance ou non-croyance, il faut croire en Lui. Tandis que vous, vous croyez en toutes sortes d'autres choses." (p240)
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" Maître, nous savons que tu es véridique, et que tu enseignes la voie de Dieu " (Matthieu 22 :16)

 

 

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" Le Tétragramme (YHWH)

Le nom le plus important de Dieu "

(Wikipédia)

" Le Tétragramme (YHWH)
Le nom le plus important de Dieu dans le judaïsme est le Tétragramme, le nom à quatre lettres de Dieu,
Youd-Heh-Waw-Heh, (noter que l'Hébreu se lit, comme l'arabe, de droite à gauche). Il apparaît dans le second chapitre de la Genèse (ou, selon certains, à la fin du premier en notarikon : Yom Hashishi Vaykhoulou Hashamaïm --le sixième jour. Furent achevés les cieux) et est habituellement rendu par 'le SEIGNEUR'. Le judaïsme interdisant de prononcer ce nom en dehors de l'enceinte du Temple, la prononciation correcte du nom fut perdue - l'hébreu n'utilisant pas de voyelles. Si certains biblistes pensent qu'il se prononçait "Yahweh", l'hébraïste Joel M. Hoffman suggère qu'il n'eut jamais de prononciation. En effet, certains textes antiques, notamment les Manuscrits de Qumran, portent le Tétragramme en caractères paléo-hébraïques, contrastant avec le reste du texte, écrit en caractères carrés, et on pense que, même à cette période, on le lisait Adonaï, "Mon Seigneur".
YHWH contenant les lettres de WeHaYaH, HoWeH,YHYeH (le Waw et le Yod étant interchangeables) : Il fut, Il est, Il sera. En un mot, l'éternel. " (Wikipédia R.I)

 

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Sur le site "Compilhistoire W" , on peut voir cette description qui résume la structure de Bible et dont nous retiendrons à présent ceci :

Depuis saint Jean Chrysostome (IVe s), le mot " Bible " désigne uniquement les saintes écritures. Au Moyen âge, les livres de la Bible étaient considérés comme un tout homogène. La Bible, également appelée sainte Bible ou saintes écritures, est le livre sacré du judaïsme et du christianisme.

 

La Bible juive est un ensemble, appelé Textes sacrés hébreux, de 39 livres (écrits à l'origine en hébreu à l'exception de quelques passages en araméen) : la Loi (Torah) ou Pentateuque (Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome), Josué, Juges, 1er livre de Samuel, 2e livre de Samuel, 1er livre des Rois, 2e livre des Rois, Isaïe, Jérémie, ézéchiel, Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahum, Habacuc, Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie, Psaumes, Proverbes, Job, Cantique des cantiques, Ruth, Lamentations, Ecclésiaste, Esther, Daniel, Esdras, Néhémie, 1er livre des Chroniques, 2e livre des Chroniques.

 

La Bible chrétienne comporte 2 parties : l'Ancien Testament (du latin Testamentum traduit du grec diathéké " disposition ", " convention ", " testament ") et les 27 livres du Nouveau Testament.

La version de l'Ancien Testament utilisée par les catholiques est la Bible du judaïsme complétée de 7 autres livres en grec (Tobie, Judith, Ecclésiastique, Baruch, Ier et IIe livre des Macchabées). [Soit 39 + 7 + 27 = 73]

 

La version de l'Ancien Testament utilisée par les protestants se limite aux 39 livres de la Bible juive. Les autres livres et adjonctions sont dits apocryphes par les protestants ; ils sont généralement appelés livres deutérocanoniques par les catholiques.

 

N'oublions pas que le chiffre 39 correspond très exactement à l'addition des 4 lettres du Nom de Dieu, à Celui qui Se révèle " ici et maintenant " au travers de toute la Bible.

 

73 Livres de la Bible

 

" catholique " du grec " katholikos " = " universelle " (dict.)

=

...39 +

...7 +

(3 x 9)

=

(39 + 7 + 27)

katholikos, " universel, selon le tout, dans sa totalité " (Lexique orthodoxe)

Selon le sens premier du mot, "catholique" ne peut donc pas être limité au sens restreint au sens qu'on lui prête couramment car "la religion catholique" est par définition celle qui est universelle.

 

A noter que la « Vulgate » qui est la « Version latine de la Bible à partir du texte hébreu, due à saint Jérôme et reconnue comme officielle dans l'église catholique depuis le concile de Trente » (CNRTL) a été rédigée à partir de l'an 390 (W) et officialisée depuis le concile de 30 (390) qui est « l'un des conciles les plus importants de l'histoire du catholicisme ».

 

"La Religion de Dieu" (Coran 3;17) est catholique parce qu'Elle est orthodoxe, c'est-à-dire droite, directe comme l'éclair et protestante, en ce sens qu'Elle Se teste, qu'Elle S'expérimente et S'atteste.

 

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Le chiffre 31 est directement lié à la (3) Trois (1) Unité, à la Trinité universelle qui nous conduira directement à la Vision du (Tr-ône). La Religion universelle ou catholique au sens premier, est Trinitaire : (39) Trois Noms, Trois Visages, Trois Aspects, Trois Mouvements de la pensée s'associant pour ne révéler qu'une seule Réalité (31) qui s'éprouve en Soi.

 

Les mots français "un" ou "une" auraient une source proto-indo-européenne commune avec l'anglais "one" ainsi qu'avec l'allemand "ein" ou "eine".

 

Quand sainte Thérèse de Lisieux parle avec affection de "la Reine des Cieux", de Celle qui est 1ère sur l'échelle des grandeurs, on l'imagine bien installée sur Son "trône", bien installée en elle-même, bien installée dans sa pensée et dans son cœur.

 

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" Le Huit fut ta manifestation première, jusqu'à ce que tu aies parfait ton Nombre, étant Un. " (Hymne à Amon de Leyde, La sagesse vivante de l’Égypte ancienne P37)

37 = Révélation (3) de Dieu (7), et " Au commencement"" 37 lettres, "Au commencement", 38 caractères :
Au commencement Dieu créa le ciel et la terre.
"Au commencement" est la Révélation du Temps éternel qui est symbolisé par la révélation des 7 " jours " de la semaine qui reviennent sans fin telle une roue qui tourne sur elle-même car la Création est permanente. Donc "ici et maintenant", toujours.
"Au commencement Dieu créa le ciel et la terre."

Dans la Création de Dieu, nous pouvons distinguer le mot "réa" qui a également été introduit pour la première fois dans notre langue en 1839 !

Une réa est une roue à gorge et la roue est le symbole du Temps. Dieu révèle Sa Création, Sa Lumière et Sa Réalité au travers du Présent éternel.

Ré-Réa
Extrait du dictionnaire.

Comme nous pouvons le voir, c'est Rê qui prête son Nom à " la réa " (=37), c'est le disque de Rê qui lui donne Sa forme à cette roue à gorge. La Bible plonge ses racines dans l'Ancienne Egypte et l'Unité de Dieu Se révèle avec Elle. Donc elle ne doit pas être méprisée non plus.

 

" D’Égypte, j'ai appelé mon fils. " (Matthieu 2:15)

 

Que représente Rê ou Râ dans l'Ancienne Egypte :

le Seigneur ! l'Unique !

 

le Créateur de tout ce qui existe !

(Extrait du Livre des Morts des Anciens Égyptiens, chap. 15)

 

Lorsque Dieu crée, Il révèle Son Unité.

Il change de Nom, mais Il est toujours là. Certains se sont imaginé que le Soleil avait cessé de briller mais aussi longtemps que la Réa reposera sur Sa tête, Dieu Se révélera avec Sa création et la lumière de Dieu Se vélera
"Ils veulent éteindre la lumière de Dieu avec leurs bouches ; mais Dieu ne veut pas rendre sa lumière plus parfaite, dussent les infidèles en concevoir du dépit." (Coran 61 :8)
Dans " Le Livre des Morts des Anciens Égyptiens", il y a quelque chose de fondamental à retenir, c'est le fait qu'il s'ouvre sur ce mot et avec ce mot primordial :
"Ici"
"Ici commencent les chapitres qui relatent..." (chap.1)

" Ici " et tout commence, tout se révèle, là où nous sommes "ici et maintenant." avec tous les Éléments qu'Il rassemble et rapporte à Son Présent.

 

Le traducteur du "Livre des Morts des Anciens Égyptiens" précise :

"Le mot "chapitres", conservé ici, est consacré par l'usage depuis un siècle, parmi les égyptologues, bien ne traduise que très imparfaitement le mot égyptien "râ-u"..."
Sachant Ce que Râ représente, nous devrions être en mesure d'entendre avec ce mot Ce que "les chapitres" représentent et révèlent.
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Le château intérieur P95

 

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Définition extraite du glossaire de « Présence de Râm » P426

 

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« Celui qui vient d'en haut est au-dessus de tous. » (Jean 3 :31)

 

Le mot « suprême » signifie : « 1. Qui est au-dessus de tous dans son genre, dans son espèce. 2. Le plus grand, le plus haut, dans la hiérarchie des valeurs. 3. Dernier, ultime. »

Un seul est digne de ce qualificatif, et « quel commandement est le plus grand dans la Loi ? »

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Extrait de « Six poèmes de Shrî Aurobindo » traduits et commentés par Mâ Sûryânanda Lakshmî P101

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 Le château intérieur P210

 

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